Avec la pandémie de Covid-19, l’emploi des freelances a pris une plus grande dimension dans les entreprises. En conséquence, les consultants indépendants dans l’IT et la Tech ne cessent de croître en nombre. Dans ce contexte, le problème relatif à la mise en plus d’une organisation efficace des équipes hybrides est désormais abordé.
Depuis une décennie, une profonde transformation s’est produite sur le marché de l’emploi. En France, le nombre de freelances dans les technologies de l’information et la Tech a flambé grâce à la numérisation. Désormais, il atteint le million de travailleurs, soit une progression de 120 % depuis 2012.
D’après un sondage récent, environ 50 % des freelances recherchent aujourd’hui des missions longues. Plus de six sur dix d’entre eux indiquent désirer traiter régulièrement avec le même client. Ainsi, en matière de requalification en CDI, entre autres, il apparaît important d’examiner soigneusement la durée de la mission. L’ère où ces types de professionnels servaient seulement de remplaçants semble révolue.
L’efficacité de la collaboration dépend grandement de l’intégration
Lorsqu’ils entrent dans une société, les consultants indépendants en IT et Tech ont, à l’instar des autres employés, besoin d’appréhender :
· La vision de l’entité ;
· Ses objectifs.
La remise en contexte revêt une importance déterminante. Pareillement, leur transmettre un planning dès les premiers jours suite à leur insertion se révèle capital. C’est dans cette optique qu’interviennent les sociétés de portage salarial impliquées comme CEGELEM. Ensuite, il faudra établir le rythme des échanges. Un premier contact doit être organisé afin de définir les objectifs et les contrôles périodiques de l’avancée des prestations. Afin de raffermir la cohésion, les inclure dans les réunions d’équipe est également nécessaire.
Relativement à ces points, une société devrait aujourd’hui prêter une grande attention à l’onboarding de ses freelances IT et Tech. Puisqu’une bonne insertion crée aussitôt le socle d’une collaboration efficace, axée autour de buts et de valeurs partagées. Une vérité dans le cadre d’un CDI vaut aussi pour une coopération ponctuelle. En ce sens, l’engagement dès les premiers jours peut s’avérer décisif. D’autant que le temps est limité et qu’avec la numérisation, tout devient plus rapide.
Conserver la possibilité d’une collaboration future
Pour les recruteurs, l’instauration d’une vraie stratégie spécifique aux freelances, combinée à un processus d’embarquement net et précis, est indispensable. Grâce à celle-ci, ces consultants indépendants auront à disposition tous les outils pour devenir opérationnels le plus vite possible.
Au sein de plusieurs entreprises, l’on accorde aussi une grande importance à l’achèvement des tâches de ces professionnels (offboarding). Il est conseillé de leur demander de composer un mémorandum résumant :
· Les nouvelles pratiques instituées ;
· Les missions qu’ils ont exécutées.
C’est seulement après qu’une passation peut être planifiée dans la branche où ils ont travaillé. Après avoir reçu un retour sur son ressenti et sa mission concernant son insertion, il faudra valoriser :
· La qualité des tâches accomplies ;
· L’implication du freelance.
En l’occurrence, la rédaction d’une lettre de référence est souvent accueillie avec beaucoup de considération. À noter que d’un point de vue stratégique, il convient de garder une possible coopération à l’avenir.
Dans ce cadre, les sociétés renommées recourent davantage à un nouvel emploi : Chief Freelance Officer. Ce, afin de gérer l’hybridation croissante du personnel et cet afflux requis de compétences extérieures.
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